Certains livres vous font découvrir des horizons lointains. Celui-ci va encore plus loin… en vous-même, vos paysages intérieurs.
Si le Petit-Prince avait eu une interlocutrice, elle se serait appelée Mélodie.
Quand le premier rencontrait un renard, un oiseau vint à la rencontre de la seconde.
Plus qu’un poème, un conte à lire à tout moment : quand on est au creux de la vague, il permet de regarder le soleil plutôt que ce qui nous entoure.
On se dit que tout est possible. Que notre avenir est entre nos mains. Qu’il n’appartient qu’à nous.
Qu’être libre, c’est d’abord être en accord avec soi-même… le plus possible.
Et que le soleil vient toujours après la pluie…
Lindsay MOES
Extrait du magazine culturel de l’Université de Liège (juin 2014)